Le gouvernement Macron s’obstine dans sa politique capitaliste à vouloir dilapider les systèmes sociaux permettant de limiter la "précarité subie". Tout en prônant de défendre la population, l’État saborde les politiques publiques qui permettent de protéger les travailleuses et le travailleurs (assurance chômage, retraites, services publics...). Le système de la 5e République est totalement perméable aux alliances État, patronat et à leur marionnette : le fascisme.
Mais la plus grande force des travailleuses et des travailleurs réside dans les assemblées générales décisionnaires qui renforcent la solidarité de classe et permettent de contrôler la lutte, de décider des formes que doit prendre le mouvement, de contrôler de bout en bout celles et ceux qui vont négocier au nom des travailleurs /travailleuses. La lutte des classe n’a jamais disparu. Aujourd’hui plus que jamais face à l’intransigeance du patronat et de l’État c’est par ce moyen que nous parviendront à un partage égalitaire des richesses et à la justice sociale, environnementale et internationale.
C’est pourquoi la CNT appelle tous les travailleuses et les travailleurs en formation, en activité, sans activité et à la retraite, à s’organiser dès maintenant dans les syndicats de combat pour impulser dans les entreprises et/ou les quartiers des assemblées générales de lutte.
NOUS N’AURONS QUE CE QUE NOUS PRENDRONS