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Copinage : souscription pour la publication de Gueule d‘Or


Cette bande dessinée retrace des événements qui vont ébranler les rues de Brest lors des premières décennies révolutionnaires de ce xxe siècle. Jules le Gall et Victor Pengam, ouvriers de l‘arsenal et syndicalistes en lutte, seront accusés d‘«anarchisme » selon les « lois scélérates » en pleine fameuse période de Ravachol à la Bande à Bonnot et dans un contexte historique où la lutte des classes s‘intensifie sur le plan international. Les deux comparses vont écrire ainsi une page marquante de l‘histoire du combat des exploités et du syndicalisme libertaire. Un temps où la répression de la lutte ouvrière était synonyme de sang versé sur les pavés, que la pluie nettoyait rapidement, sous le regard rassuré de la bourgeoisie d‘une ville pourtant profondément prolétaire.

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L’usine est à nous

Soirée ciné-débat
vendredi 2 février 2018
20h30 aux halles St François, Quimper
entrée libre & gratuite.
Projection du documentaire L’usine est à nous
54min Réalisation Nicolas Joxe – Production Mano a mano
Suivi d’échanges et de débats
Pour soutenir la coopérative des produits SCOP-TI seront disponibles.
Télécharger annonce l’usine est à nous A4

Le bulletin de salaire

De la retraite  … Au salaire à vie :  une  vidéo du Réseau salariat 29
http://www.reseausalariat29.infini.fr/siteRS29/site

Calculée comme la dépense publique, la dépense privée dépasserait 200% du PIB

Calculée comme la dépense publique, la dépense privée dépasserait 200% du PIB
Christophe Ramaux
Economiste atterré, Université Paris I, Centre d’Economie de la Sorbonne

L’affaire semble entendue : la dépense publique représentant en France 57 % du PIB, il ne reste plus que 43 % pour le privé. De quoi justifier l’austérité budgétaire. Le problème est que ce raisonnement est faux.

Avec la méthode retenue pour calculer la dépense publique, on peut estimer la dépense privée à plus de 200 % du PIB. Petite démonstration, sachant que tous les chiffres portent sur 2012 et sont tirés des comptes de la nation de l’Insee.
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Buenaventura Durruti nato 3164/3244 (réédition 2011)

Collectif pour un autre futur :
Buenaventura Durruti
nato 3164/3244 (réédition 2011)

« Dès mon plus jeune âge, la première chose que j’ai perçue autour de moi, c’est la souffrance, non seulement celle de notre famille, mais aussi celle de mes voisins. Par intuition, j’étais déjà un rebelle. Je crois que mon destin s’est décidé alors. »
Buenaventura Durruti.

Quarante années de luttes, d’exils, d’attentats, d’emprisonnements, d’activités clandestines, de grèves, d’insurrection, Buenaventura Durruti (né le 14 juillet 1896, tué le 20 novembre 1936) a vécu plusieurs vies, toutes exprimant au plus profond, le même désir de libération de la personne humaine. Le chemin est long pour le jeune ouvrier révolté devenant l’homme qui refuse postes, honneurs, grades et dont la mort fut pleurée par des millions de femmes et d’hommes. L’histoire de ce libertaire sans compromission, ce révolutionnaire intransigeant, se confond avec celles de la révolution et de la guerre d’Espagne, clés indispensables à la compréhension de l’histoire du XXème siècle et de sa suite.

En deux disques et 36 plages, musiciens, chanteurs, écrivains, acteurs s’interrogent et créent à partir de l’histoire de Buenaventura Durruti, une dédicace sans nostalgie et pleine d’actualité. Avec la participation d’Abel Paz, auteur de la biographie « Buenaventura Durruti, un anarchiste espagnol ».
L’édition 2011, richement illustrée de nombreuses photographies d’époque, est dotée du texte original enrichi et augmenté d’autres écrits trilingues (français, espagnol, anglais) de Emma Goldman, de Carl Einstein ainsi que d’une nouvelle préface situant cet enregistrement aujourd’hui.
« C’est seulement en se libérant de la peur que la société pourra s’identifier dans la liberté. »
Buenaventura Durruti.

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