Articles avec le tag ‘manifestation’

Fin juin et début juillet, mobilisons-nous pour l’amnistie civile et pénale du mouvement social et syndical !

dimanche 19 mai 2013

Des manifestations pour l’amnistie civile et pénale des militant-e-s du mouvement social et syndical seront organisées fin juin et début juillet dans plusieurs villes. Les lieux, dates et horaires seront publiés prochainement sur le site confédéral de la CNT. A Metz, la date est d’ores et déjà connue. Rendez-vous le samedi 29 juin à 15h, place Mazelle (devant le MEDEF) à l’appel – à ce jour – de la CNT, du NPA, de la FA, d’AL, de la FASE, du PG, du PCF, des JC, de la section FO de St Gobain / Pont à Mousson, de la CGT Arcelor-Mittal et du collectif Jeune de la CGT Arcelor-Mittal.

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> Autre clip sur le même sujet

> Entretien vidéo avec Fouad Harjane (CNT Metz), condamné à 40 000 € de préjudice auprès de la SNCF pour une action collective organisée en 2006 dans le cadre du mouvement de lutte contre le CPE

 

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Marne-la-Vallée : appel à la manif du 1er mai 2013

mercredi 17 avril 2013

Rendez-vous à 11h, dalle du Champy à Noisy-le-Grand (93), RER Noisy-Champs (sortie coté Champy)

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Texte de l’appel unitaire :

Le changement, ce sont nos luttes qui le feront !

Leur crise, nous la payons quotidiennement au prix fort : licenciements, chômage, précarité, racisme, discriminations, expulsions de logement, reconduites à la frontière, vie chère, répression, casse des services publics ou démantèlement de la sécurité sociale… ça suffit ! Depuis plusieurs mois, les annonces des plans dits sociaux se multiplient sous le regard complice d’un gouvernement qui accompagne le monde de la finance et du capital. De nombreux secteurs comme l’industrie, les télécommunications, le bâtiment, les transports… subissent une véritable saignée. Des licenciements en cascades, des nouveaux retraités non remplacés, des départs volontaires encouragés… Dans les services publics (écoles, hôpitaux, collectivités territoriales…), la situation n’est guère plus enviable. Le gel des salaires, le recours aux contrats précaires, la diminution des effectifs et les privatisations rampantes impactent aussi bien les salariés que les usagers ! Pendant ce temps là, les files d’attentes à la CAF ou à Pôle Emploi explosent. Les « licenciés économiques » de fraîche date rejoignent le bataillon des chômeurs au coté des intérimaires n’ayant plus de missions ou des précaires de la fonction publique non titularisés… Au niveau de nos droits, la braderie continue. Pour soi-disant sécuriser nos parcours le gouvernement, le patronat et certains « partenaires sociaux » minoritaires se sont mis d’accord pour faciliter les licenciements et accroître la flexibilité des travailleurs ! Les prochaines négociations UNEDIC destinées à définir les règles de l’indemnisation du chômage pour les années à venir s’annoncent inquiétantes, il en va de même pour les retraites complémentaires aujourd’hui et le régime général demain.

Pour renverser la tendance, interdire les licenciements, titulariser les précaires de la fonction publique et du privé, sauver nos retraites et la Sécurité sociale, pour en finir avec les divisions racistes et sexistes, nous ne pouvons compter que sur nous-mêmes et le renforcement des solidarités. Il est temps, de s’organiser et d’engager le bras de fer contre le capitalisme et le patronat pour reprendre ce qu’ils nous ont volé. Pour nous la solidarité n’est pas juste un slogan. Face à leur crise, nous entendons faire vivre l’entraide. Ne restons pas seuls face à un licenciement, un avis de radiation du Pôle Emploi, une ordonnance d’expulsion du territoire… Unissons-nous et battons-nous ! Ici à Marne la Vallée, un regroupement de syndicats, d’associations et d’organisations politiques a décidé de célébrer le 1er Mai en banlieue, au plus près de nos lieux de travail, de vie ou d’étude. Ce 1er Mai 2013, nous invitons les travailleur-se-s, les chômeurs-se-s, les précaires, les retraité-e-s, les jeunes, les habitant-e-s des quartiers populaires avec ou sans papiers de Marne la Vallée et alentours à descendre dans la rue pour participer à cette marche fraternelle et offensive et à se rendre à la manifestation l’après-midi à Paris !

Premiers signataires :
Solidaires CSTB, Solidaires Industrie francilien, Solidaires étudiant-e-s MLV, Sud Education UMLV, Sud Santé Sociaux 93, SNUipp-FSU Noisy le Grand, UL CGT Noisy le Grand, UL CNT Chelles & Marne la Vallée, Collectif Université en Vrac MLV, Ras l’Front MLV, Turbulences, NPA Noisy le Grand, Front de Gauche Noisy le Grand (Citoyens, FASE-CUGA, PCF Noisy le Grand, PG)…

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Manifestation contre les réformes Peillon (Lille, 28 mars 2013)

samedi 30 mars 2013

Manifestation contre les réformes Peillon du 28 mars 2013 à Lille :
déclaration de deux militantes de l’intersyndicale éducation CGT, CNT, FO, SNE, SUD.

> Lire l’appel de l’intersyndicale
> Mail du syndicat CNT éducation Nord Pas-de-Calais
> Site de la fédération CNT des travailleuses et travailleuses de l’éducation
> Vidéo de la manifestation organisée le 12 février dernier à Lille sur le même sujet

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Lisbonne, 2 mars 2013 : que la troïka aille se faire foutre !

jeudi 7 mars 2013

Le 2 mars 2013 a eu lieu à Lisbonne (Portugal) une grande manifestation appelée par le mouvement « Que se lixe a troïka » (Que la troïka aille se faire foutre), la troïka désignant, rappelons-le, la Commission européenne, la Banque centrale européenne et le FMI.

La chanson de Zeca Afonso, « Grândola, vila morena », a été reprise par des milliers de manifestants tout au long du cortège ainsi qu’à l’issue de la manifestation sur et devant la scène installée sur la « terreiro do Paço » (terrasse du Palais). Cette chanson, composée par Zeca Afonso en 1964, raconte la fraternité des habitants de Grândola, une ville située dans l’Alentejo. Censurée par le régime salazariste, elle a été diffusée le 25 avril 1974 sur les ondes de « Radio Renascença » et a servi de signal pour indiquer le début de l’insurrection militaire qui, cette année-là, renversa le régime salazariste. Depuis cette date, elle est associée à la restauration de la démocratie au Portugal et à la « révolution des œillets ».

Bref, ça commence à bouger au Portugal. Certes, cela reste encore très contrôlé par les partis de gauche et la CGTP. Il manque notamment un horizon autre que la chute du gouvernement et la tenue de nouvelles élections. Mais peut-être que ça viendra car, n’oublions pas, personne ne s’attendait à ce qui s’est passé en 1974 !

> Bref rappel historique sur la « révolution des œillets »
> Paroles de la chanson « Grândola, vila morena »
> Témoignage très intéressant écrit en français par un participant à la manifestation du 2 mars

Durée : 00:02:56

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Non aux réformes Peillon ! Émancipatrice, sociale et populaire… lutte des classes pour une autre école !

mardi 12 février 2013

Vidéo, déclaration et photos de la CNT éducation Nord Pas-de-Calais le 12/02/2013 à Lille :

 

Le mouvement de lutte contre les réformes Peillon ne concerne pas que les enseignant-e-s. Il concerne aussi les élèves, les parents et les personnels municipaux (ATSEM et animateurs-trices).

Les réformes Peillon participent à la casse du caractère national de l’Éducation par le bais d’une territorialisation de plus en plus poussée (avec le risque que cela comporte en terme de différences entres communes riches et communes pauvres). Elles dégradent les conditions de travail des personnels et les conditions d’apprentissage des élèves. Comme avec Sarkozy, le recours aux contrats précaires continue et les RASED (Réseaux d’Aide aux Élèves en Difficulté) sont laissés de côté. Les créations de postes (y compris pour la scolarisation des 2 ans) ne sont pas à la hauteur des besoins. La soumission croissante de l’École au libéralisme (socle commun, livret personnel de compétences, etc.) n’est pas remise en cause. L’éducation prioritaire n’est pourvue d’aucun moyen particulier et les classes populaires sont une fois de plus les premières victimes de la politique gouvernementale.

Le gouvernement parle d’une « refondation de l’École ». En ce qui concerne la CNT, cela fait longtemps que nous appelons à des changements profonds dans le système éducatif pour que celui-ci devienne source d’égalité et d’émancipation. La refondation de l’école passe par la mise en œuvre de pédagogies coopératives débarrassées du fardeau de la compétition et de la sélection sociale. A l’heure où la formation continue a été quasiment supprimée dans l’Éducation nationale, cette refondation passe par un vaste plan de formation favorisant ce type de pédagogies.

Concernant la réforme des rythmes, s’il est pertinent de vouloir adapter le temps scolaire aux enfants, nous ne pouvons que constater que les mesures prises ne permettront pas d’améliorer leur vie. Les enfants resteront à l’école aussi longtemps qu’avant (car seul le temps de classe est diminué, pas le temps de présence à l’école). D’autre part, ils devront être présents le mercredi matin. Cela ne pourra que créer des semaines plus fatigantes. D’autant plus que les programmes sont toujours aussi lourds et que cette mesure s’accompagne d’une dégradation des conditions d’accueil dans le secteur péri-scolaire : par exemple, un animateur pour 18 enfants en élémentaire (alors que le taux d’encadrement est aujourd’hui d’un animateur pour 14 enfants).

> Télécharger cette déclaration sous forme de tract ou d’affichette
> Conséquences de la réforme des rythmes sur le temps de travail des professeurs d’école
> Site du syndicat CNT éducation du Nord Pas-de-Calais
> Site de la Fédération CNT des Travailleuses-eurs de l’Éducation

banderole-cnt-education-nord-pas-de-calais-manif-lille-12fevrier2013-reduction

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banderole-intersyndicale-education-nord-pdc-greve-12fev2013-reduction

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